Rencontre avec Daniel, l’un de nos meilleurs sellers allemands
Ce mois-ci, nous avons le grand plaisir de vous présenter un crack de la vente de t-shirts personnalisés : Daniel, qui est basé en Allemagne. Ce seller, qui a commencé à lancer ses campagnes sur Teezily il y a deux ans, a connu un parcours fulgurant. Apprendre de l’expérience des autres : il n’y a rien de tel pour stimuler l’enthousiasme et l’envie d’aller plus loin. Écoutez ses conseils pour vous lancer dans les affaires grâce à notre plateforme.
Salut Daniel ! D’où viens-tu et où habites-tu ?
D — Je suis originaire d’Allemagne, près de Francfort. C’est là que je vis avec ma femme et ma fille.
Raconte-nous tes débuts avec Teezily.
D — J’ai commencé par lancer des campagnes sur Teespring en 2014. L’un de mes mentors dans le métier m’a alors suggéré de cibler l’Allemagne. « Tu as une meilleure connaissance du marché allemand et des Allemands que les Américains », m’a-t-il dit. C’est la raison pour laquelle j’ai décidé de tenter ma chance avec Teezily, qui est actuellement le leader mondial de l’impression à la demande. Le reste, c’est de l’histoire ancienne… il m’a fallu environ trois mois pour doper mes ventes et connaître le succès avec mes campagnes.
Peux-tu nous parler des principales difficultés que tu as rencontrées quand tu t’es lancé ?
D — Se familiariser avec les dernières stratégies de marketing digital et les intégrer dans sa communication sur Facebook demande beaucoup d’efforts. Mais si vous échangez avec des sellers expérimentés sur des forums d’actualités consacrés à la publicité sur Facebook ou au marketing digital, vous arrivez à vous en sortir. Apprendre le métier au contact des meilleurs, c’est essentiel.
Comment organises-tu ta journée de travail ?
D — Je suis très concentré sur mes objectifs. Je définis mes objectifs à court et long terme, et j’établis un plan pour les atteindre. Par ailleurs, je peux compter sur une équipe formidable. Mes designers et mon assistant virtuel m’aident à mettre en ligne et à lancer toutes mes créations, pour que je puisse consacrer du temps à l’organisation de toutes mes activités.
Comment trouves-tu de nouvelles idées pour ton marché ?
D — Je m’appuie tout d’abord sur un assistant virtuel, qui me suggère de nouvelles idées et m’aide à développer la stratégie de ciblage la plus efficace. Ensuite, il faut tester, tester, tester et tester ses idées. Travailler dans ce secteur, c’est comme faire du basket à très haut niveau. Il faut rater des milliers de tirs pour enfin marquer un panier. C’est du moins ce qu’a expliqué Kobe Bryant, si mes souvenirs sont bons, et je pense qu’il a raison.
Quelle va être la prochaine étape pour toi ?
D — La prochaine étape va consister à mettre en ligne tous mes designs les plus populaires sur la plateforme Teezily pour obtenir gratuitement du trafic, sans débourser un centime pour des publicités Facebook.
Comment imagines-tu l’avenir du secteur ?
D — Je pense que le marché européen offre encore de multiples possibilités. Tout le monde a besoin de t-shirts et les ventes ne sont pas prêtes de s’arrêter. La concurrence est néanmoins de plus en plus féroce, c’est pourquoi il faut vraiment trouver de nouvelles idées originales et se tenir informé des dernières tendances en matière de marketing digital.
As-tu des demandes ou des suggestions à transmettre à notre équipe ?
D — Continuez de nous écouter, nous autres sellers, parce que c’est nous qui sommes les mieux placés pour identifier les principaux problèmes et vous aider à les résoudre. Restez toujours attentifs à l’évolution du marché, et continuez à tester de nouvelles idées et de nouveaux produits au même rythme que par le passé. C’est un exercice à la fois risqué, gratifiant et stimulant.
Quel est ton meilleur souvenir depuis que tu as commencé à collaborer avec Teezily ? :)
D — Les voyages à Paris pour vous rencontrer, et à Barcelone. J’adore échanger avec vous, mais pouvoir vous rencontrer en vrai, c’était vraiment génial.
Salut Daniel ! D’où viens-tu et où habites-tu ?
D — Je suis originaire d’Allemagne, près de Francfort. C’est là que je vis avec ma femme et ma fille.
Raconte-nous tes débuts avec Teezily.
D — J’ai commencé par lancer des campagnes sur Teespring en 2014. L’un de mes mentors dans le métier m’a alors suggéré de cibler l’Allemagne. « Tu as une meilleure connaissance du marché allemand et des Allemands que les Américains », m’a-t-il dit. C’est la raison pour laquelle j’ai décidé de tenter ma chance avec Teezily, qui est actuellement le leader mondial de l’impression à la demande. Le reste, c’est de l’histoire ancienne… il m’a fallu environ trois mois pour doper mes ventes et connaître le succès avec mes campagnes.
Peux-tu nous parler des principales difficultés que tu as rencontrées quand tu t’es lancé ?
D — Se familiariser avec les dernières stratégies de marketing digital et les intégrer dans sa communication sur Facebook demande beaucoup d’efforts. Mais si vous échangez avec des sellers expérimentés sur des forums d’actualités consacrés à la publicité sur Facebook ou au marketing digital, vous arrivez à vous en sortir. Apprendre le métier au contact des meilleurs, c’est essentiel.
Comment organises-tu ta journée de travail ?
D — Je suis très concentré sur mes objectifs. Je définis mes objectifs à court et long terme, et j’établis un plan pour les atteindre. Par ailleurs, je peux compter sur une équipe formidable. Mes designers et mon assistant virtuel m’aident à mettre en ligne et à lancer toutes mes créations, pour que je puisse consacrer du temps à l’organisation de toutes mes activités.
Comment trouves-tu de nouvelles idées pour ton marché ?
D — Je m’appuie tout d’abord sur un assistant virtuel, qui me suggère de nouvelles idées et m’aide à développer la stratégie de ciblage la plus efficace. Ensuite, il faut tester, tester, tester et tester ses idées. Travailler dans ce secteur, c’est comme faire du basket à très haut niveau. Il faut rater des milliers de tirs pour enfin marquer un panier. C’est du moins ce qu’a expliqué Kobe Bryant, si mes souvenirs sont bons, et je pense qu’il a raison.
Quelle va être la prochaine étape pour toi ?
D — La prochaine étape va consister à mettre en ligne tous mes designs les plus populaires sur la plateforme Teezily pour obtenir gratuitement du trafic, sans débourser un centime pour des publicités Facebook.
Comment imagines-tu l’avenir du secteur ?
D — Je pense que le marché européen offre encore de multiples possibilités. Tout le monde a besoin de t-shirts et les ventes ne sont pas prêtes de s’arrêter. La concurrence est néanmoins de plus en plus féroce, c’est pourquoi il faut vraiment trouver de nouvelles idées originales et se tenir informé des dernières tendances en matière de marketing digital.
As-tu des demandes ou des suggestions à transmettre à notre équipe ?
D — Continuez de nous écouter, nous autres sellers, parce que c’est nous qui sommes les mieux placés pour identifier les principaux problèmes et vous aider à les résoudre. Restez toujours attentifs à l’évolution du marché, et continuez à tester de nouvelles idées et de nouveaux produits au même rythme que par le passé. C’est un exercice à la fois risqué, gratifiant et stimulant.
Quel est ton meilleur souvenir depuis que tu as commencé à collaborer avec Teezily ? :)
D — Les voyages à Paris pour vous rencontrer, et à Barcelone. J’adore échanger avec vous, mais pouvoir vous rencontrer en vrai, c’était vraiment génial.